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C'EST L'OBJECTIF À ATTEINDRE MALGRÉ LES DIFFICULTÉS ET LA SOUFFRANCE. CAR LA VOLONTÉ DES PARENTS D'ÉLÈVES SE HEURTE AUX PROBLÈMES SOCIAUX....LE CHOMAGE ET LA PRÉCARITÉ DES MOYENS.


POUR REUSSIR SES ETUDES IL FAUT: LA DISCIPLINE DANS LE PROGRAMME DE TOUS LES JOURS ,RESPECTER LE TEMPS DE SOMMEIL,AVOIR UNE BONNE ALIMENTATION,SUIVRE LES COURS ,LES COMPRENDRE ET LES CONCEVOIR INDIVIDUELLEMENT POUR UNE RESTITUTION FIDÈLE. 

 


 


 

Editorial

 

Nous négligeons ou nous oublions trop souvent la réalité de la pensée en tant que force naturelle mise à notre service. Par le champ vibratoire qu'elle met en action la pensée constitue une véritable puissance. Si elle est intense elle met en action une certaine quantité de force mentale qui nous enveloppe et crée autour de nous une atmosphère personnalisée.
Notre état physique et notre état moral sont solidaires, ainsi la pensée, force silencieuse imprime notre corps de ses vibrations, de même que les objets qui nous entourent. Nous attirons à nous par les formes pensées que nous créons sympathie ou antipathie et nous restons reliés aux esprits qui résonnent aux même fréquences vibratoires.
Puissant allié du libre arbitre notre pensée par la direction que nous lui donnons et par la volonté que nous lui accordons est une arme puissante et indispensable pour nous permettre de mener à bien notre existence et nous aider à surmonter les épreuves.

Gilles Fernandez

 

Une histoire de psychométrie

Ce diamant bleu de 44,5 carats, le plus grand du monde de cette couleur ; volée lors d'un cambriolage en 1792.
Il fut coupé, retaillé, et passa de main en main. La légende affirme qu'il fut à l'origine l'œil d'une idole hindoue, arraché par des voleurs, il est considéré comme une des pierres les plus maléfiques du monde. Une douzaine de morts violentes et des désastres dans deux familles royales liés à sa possession, ont soutenu cette réputation.


Dans son ouvrage : « Les énigmes de la psychométrie », Ernest Bozzano nous explique certains mécanismes de clairvoyance à savoir : comment s’établit le rapport entre un médium et un objet. Dans cette situation, l’objet n’est pas un simple stimulant comme dans le cas des cartes, de la boule de cristal ou du marc de café mais il constitue un véritable intermédiaire qui a une « influence » réelle, laissée, déposée par la personne qui en était le possesseur. La matière a donc la propriété de recevoir toutes sortes de vibrations et c’est ce que nous allons voir dans cet exemple tiré de l’ouvrage « Dans les domaines de la médiumnité » psychographié par le médium Chico Xavier. Le narrateur André Luiz se promène avec Hilario, un esprit comme lui curieux et un autre esprit, un frère instructeur Aulus dans un musée.


À côté de l’imposante galerie, deux hommes et trois dames admiraient un singulier miroir, auprès duquel se trouvait une jeune désincarnée dotée d’une expression de grande tristesse. Une des femmes prononça d’élogieuses paroles quant à la beauté de la moulure, et la jeune fille, dans la position d’une sentinelle irritée, s’approcha, lui touchant les épaules. Involontairement, la femme trembla sous l’effet d’un frisson inattendu, et dit à ses compagnons :
– Il y a ici un étrange souffle de chambre funéraire. Il est préférable que nous sortions…
Le groupe s’adonna à des manifestations de bonne humeur et se retira, l’accompagnant vers un autre chemin. L’entité, qui n’avait pas perçu notre intromission, nous semblait satisfaite de la solitude et se mit à contempler le miroir, en proie à une étrange fascination. Aulus l’effleura, légèrement, toucha l’objet avec attention et commenta :
– Avez-vous noté le phénomène ? Du petit groupe de visiteurs, la sœur qui enregistra la proximité de la jeune personne que nous observions, est porteuse d’une sensibilité médiumnique notable. Si elle eut éduqué ses forces et qu’elle eut sondé le miroir, elle serait immédiatement rentrée en contact avec la fille qui s’y attache de manière délirante. Elle aurait reçu ses confidences et connu son drame intérieur, car elle aurait assimilé, sur le champ, son onde mentale, s’appropriant les images…
Incapable de contenir la curiosité qui submergeait notre cerveau, Hilario demanda des informations sur la jeune fille : que faisait-elle dans ce tombeau de souvenirs ? Pourquoi s’intéressait-elle avec autant d’angoisse à un simple miroir, sans autre signification ? Comme s’il s’attendait déjà à nos demandes, l’Assistant répondit sans sourciller :
– J’ai touché l’objet pour m’en informer. Ce miroir extrêmement original fut confié à la jeune fille par un garçon qui lui promit de l’épouser. Je vois son visage romantique dans ses souvenirs. Il était fils de français réfugiés au Brésil du temps de la France Révolutionnaire de 1791. Encore petit, il accosta à Rio et y grandit, devenant un homme. Il la trouva et conquit son cœur. Quand ils établirent des projets de mariage, après une relation affective plus intime, la famille étrangère, enthousiasmée par le succès de Napoléon en Europe, décida de retourner vers sa patrie. Le jeune homme parut désolé mais ne désobéit pas à l’ordre paternel. Il se sépara de sa fiancée et l’implora de garder cette pièce comme souvenir, jusqu’à ce qu’il puisse revenir, et être alors heureux pour toujours… Cependant, distrait en France par les enchantements d’une autre femme, il ne revint jamais… Rapidement, il oublia responsabilités et engagements, devenant différent. Toutefois, la pauvre petite se fixa dans la promesse faite, et continua à l’attendre. Le miroir est le gage de sa félicité. J’imagine le long voyage qu’elle aura fait dans le temps, le surveillant comme s’il était sa propriété, jusqu’à ce que le souvenir vienne enfin reposer dans le musée.
– Le sujet, avançai-je, préoccupé, nous oblige à réfléchir sur les anciennes histoires de bijoux ensorcelés…
– Oui, oui, dit l’Assistant, l’influence ne provient pas des bijoux, mais bien des forces qui l’accompagnent.
Hilario qui méditait mûrement sur la leçon, voulut savoir :
– Si quelqu’un pouvait acquérir cette pièce et l’emporter avec lui…
– Il est certain que la personne devra également faire face à la présence de la jeune fille désincarnée, coupa l’instructeur.
– Et cela serait juste ?
Aulus esquissa un léger sourire et répondit :
– Hilario, la vie ne se trompe jamais. Il est possible que quelqu’un apparaisse ici et s’extasie devant l’objet, en disputant la possession.
– Qui ?
– Le jeune homme qui se servit de la parole, provoquant la fixation mentale de cette pauvre créature, ou la femme qui l’éloigna des engagements pris. Réincarnés, aujourd’hui ou demain, ils viendront possiblement jusqu’ici, la prenant comme fille ou compagne, dans le règlement du débit contracté.
– Mais ne pouvons-nous pas accepter l’hypothèse selon laquelle la jeune désincarnée serait attirée vers un quelconque cercle de soin, se débarrassant de la perturbation dont elle est victime ?
– Oui, reconnut l’orienteur, cela est aussi possible ; cependant, examinant l’harmonie de la loi, la rencontre du trio est inévitable. Tous les problèmes que nous avons créés ne seront résolus que par nous-mêmes. La conversation était précieuse, mais la responsabilité nous poussait en avant. Alors que nous nous dirigions vers la sortie, nous passâmes près du cabinet où se trouvait la direction du musée. Voyant deux chaises inoccupées, près d’une table de travail, mon collègue posa une question, dans le but évident de compléter la leçon :
– Je pense que les meubles que nous voyons sont utilisés par des auxiliaires de l’administration du musée… si nous nous asseyons dessus, pourrions-nous entrer en relation avec les personnes qui les occupent habituellement ?
– Oui, si nous désirons ce type d’expérience, l’informa l’orienteur.
– Et en nous référant aux incarnés ? poursuivit Hilario. N’importe quelle personne qui se servirait des objets appartenant à d’autres, comme des vêtements, un lit ou des ornements, pourrait sentir les reflets de ceux qui les utilisèrent ?
– Parfaitement. Cela dit, pour qu’ils les perçoivent, ils doivent être porteurs d’une sensibilité psychique aigue. Les marques de notre personnalité vibrent où nous vivons et, par elles, nous provoquons le bien ou le mal chez les personnes qui entrent en contact avec nous.
– Et tout ce que nous observons relève de la médium -nité ?!...
– Oui, bien que les faits de cet ordre soient classés, par les expérimentateurs du monde scientifique, sous des dénominations diverses, parmi lesquelles nous trouvons la « cryptesthésie pragmatique », la « métagnomie tactile », la « télesthésie ».

Et prenant les devants pour nous reconduire sur la voie publique, il conclut :
– En tout, nous voyons intégration, affinité, syntonie… N’ayons aucun doute quant à un point : à travers la pensée, nous communions les uns avec les autres, en pleine vie universelle.»

 

La pensée

La pensée est la base vivante de toutes les réalisations sur le plan physique et extra-physique. Elle est matière, mais sur une autre échelle de vibration, elle est constituée d’éléments atomiques plus compliqués et subtils que l’hydrogène et l’uranium. Ces éléments transcendent le tableau périodique des éléments chimiques connus dans le monde. Il n’existe pas de terminologie adéquate pour les désigner et André Luiz emploie la même nomenclature terrestre : nucléons, protons, neutrons, positrons, électrons ou photons mentaux.





















La particule de pensée, comme corpuscule fluidique semblable à l’atome, est une unité en essence qui se subdivise en divers types, conformément à la quantité, qualité, comportement et trajectoires des composants qui l’intègrent. Ainsi, la particule de pensée, bien que vive et puissante dans la composition déversée par l’esprit qui l’a produite, est également passive devant le sentiment qui lui donne forme et nature pour le bien ou pour le mal. Ainsi, le fluide résultant peut être acide ou basique, doux ou amer, vivifiant ou mortel, selon la force du sentiment qui l’a produit et qui a engendré les rayons de l’émotion ou du désir. Le progrès est remarquablement accéléré par le fluide mental qui a des qualités magnétiques d’induction.
L’induction est le phénomène qui consiste à électriser un corps ou le charger d’électrons en l’approchant ou en le plongeant dans un champ électrique ou magnétique. De la même manière, le courant de particules mentales sort de chaque Esprit avec une qualité d’induction mentale d’autant plus grande que les facultés de concentration et de persistance dans les buts à atteindre sont évidentes.
Par le biais de l’induction mentale nous influençons sur les autres Esprits et nous recevons leur influence. Son importance est donc indiscutable. Ainsi, le choix de nos objectifs dans la vie est également important. Nous ne pouvons pas oublier que le but de notre attention se convertit en facteur inductif et nous pousse à émettre les valeurs de la pensée continue dans la direction que prend notre idée. Dans cette direction nous trouvons les principes qui s’ajustent aux nôtres. De ce fait, nous sommes automatiquement liés en esprit à tous les incarnés ou désincarnés qui pensent comme nous pensons. Cette liaison est d’autant plus étroite que l’atmosphère mentale qui nous lie les uns aux autres est proche, indépendamment de facteurs spatiaux.
Les Ondes Longues : ce sont toutes les ondes supérieures à 600 mètres de longueur. Elles circulent le long de la surface terrestre et sont à courte portée.
Les Ondes Moyennes : ce sont les ondes qui ont une longueur comprise entre 150 et 600 mètres. Elles circulent le long de la surface terrestre mais se projettent vers les couches supérieures de l’atmosphère. Elles sont à plus longue portée que les précédentes, mais ne sont pas très longues.
Les Ondes Courtes : ce sont celles qui varient entre 10 et 150 mètres. Elles se dirigent vers l’atmosphère supérieure et sont captées par « ricochet ». Elles ont une très longue portée et peuvent être captées même aux pôles de la Planète.
Les Ondes Ultracourtes : ce sont celles qui ont moins de dix mètres. Elles ont une portée beaucoup plus longue et plus forte et se répandent dans les couches supérieures de l’atmosphère.
Dans l’au-delà, il est possible de classer les rayons super-ultracourts, par lesquels s’expriment les légions d’Esprits supérieurs à travers des processus encore inaccessibles à notre observation. L’esprit humain, quant à lui, s’exprime au travers d’oscillations courtes, moyennes et longues alors que les animaux n’émettent que des rayons discontinus générant des oscillations fragmentaires.
Un autre concept très important, lié à ces ondes, est la syntonie. En physique, elle désigne la condition d’un circuit dont la fréquence de vibration est égale à celle d’un autre circuit Ainsi, on sait ce que signifie identité ou harmonie vibratoire. Du point de vue spirituel, c’est le niveau de ressemblance des émissions ou des radiations mentales de deux esprits ou plus qui ont des pensées, des sentiments et des idéaux identiques. C’est la syntonie vibratoire que nous connaissons si bien. André Luiz nous dit que les anges s’expriment par des rayons super-ultra-courts, dans des processus encore inaccessibles à l’observation commune. Pour parvenir à des états plus élevés, la créature humaine devra vivre des situations extraordinaires comme par exemple, des émotions profondes, des douleurs très intenses, des concentrations difficiles, des supplications angoissées. De ce fait, son esprit émettra des rayons très courts qui ont un immense pouvoir transformateur, proches des rayons gamma. ( Les rayons gamma, sont une forme de rayonnement électromagnétique de haute énergie produits par la radioactivité ou d'autre processus nucléaire ou subatomique Ils possèdent une longueur d'onde très courte inférieure à 5 nanomètres. Les rayons gamma sont très pénétrants, exemple : un blindage qui réduit de 50% l'intensité des rayons gamma nécessite 1 cm de plomb, 6 cm de béton ou 9 cm de terre.).
Pour aller encore plus en avant dans ce parallèle, André Luiz fait un rapprochement entre le courant électrique et le courant médiumnique. Lorsque l’intensité et le sens de propagation du courant sont invariables, le courant est continu ou direct. Lorsque l’intensité et les sens varient périodiquement obéissant à un mouvement de va et vient, le courant est alternatif.
Dans la médiumnité, nous pouvons avoir un courant continu ou direct, dans les cas de passivité absolue, lorsque le courant médiumnique circule seulement de l’Esprit communicant vers le médium. Lorsque le médium réagit par la pensée sur l’Esprit communicant, nous avons le courant alternatif. Dans les manifestations d’entités malheureuses par le courant alternatif, l’esprit du médium pourrait aider dans l’endoctrinement. Mais ce courant alternatif peut aussi expliquer le niveau d’interférence du médium dans la communication reçue.
De même que la résistance correspond à l’absorption d’énergie électrique - transformée en chaleur - sur le circuit, de même sur un circuit médiumnique, la résistance peut être assimilée à la dissipation d’énergie mentale destinée au soutien élémentaire entre l’Esprit communicant et le médium.

Poursuivons et examinons un autre phénomène électrique, suggéré par André Luiz, et qui a son pendant médiumnique. C’est celui de l’inductance. En raison de l’inductance, lorsque le courant varie, une force accrue apparaît sur le circuit et s’oppose à la variation. Cette propriété joue un rôle semblable à l’inertie en mécanique. Si le circuit électrique en action subit une discontinuité abrupte, l’effet en étude produit une décharge électrique dont les conséquences varient selon l’intensité du courant puisque le circuit – qui comprend bobines et moteurs - est de nature inductive. Ces éléments ne doivent pas être interrompus et leurs mouvements doivent être réduits lentement car c’est le seul moyen d’empêcher l’apparition d’autres courants, susceptibles d’engendrer des fermetures ou des ruptures désastreuses pour les appareils utilisés. Le circuit médiumnique possède cette même propriété vis-à-vis de l’énergie mentale-électromagnétique conservée dans le champ de l’association mentale, entre l’entité communicante et le médium, provoquée par l’équilibre entre les deux. Cet équilibre évite toute variation possible. En raison de ce principe, lorsqu’une modification se fait sur le courant mental, une augmentation de force qui empêche la variation apparaît dans les profondeurs de la conjonction médiumnique. Si la violence intervient et crée des changements brusques, l’inductance sur le plan mental engendre une décharge magnétique, dont les effets sont classés selon l’intensité de l’intégration en cours. Les explications d’André Luiz ne sont pas difficiles à comprendre lorsqu’on se souvient que le circuit médiumnique comprend des éléments du périsprit et des tissus cellulaires complexes, aussi bien sur le plan physique que spirituel. Ce circuit est fortement inductif et ne doit pas être soumis à des interruptions intempestives.
Enfin, une autre caractéristique du phénomène électrique est la capacité qui permet d’accumuler de l’énergie dans le champ électrique : cette énergie accompagne la présence du voltage, semblable à l’effet de l’élasticité en mécanique. Nous avons ainsi les condensateurs : appareils qui gardent l’énergie dans le champ électrostatique du circuit. Avec eux, on conserve de l’énergie électrique pendant le chargement qui est ensuite restituée au circuit, lors de la décharge. C’est la comparaison qu’utilise André Luiz pour faire le rapprochement avec le circuit médiumnique. Dans ce cas, la capacité exprime la propriété selon laquelle on vérifie le stockage des ressources spirituelles sur le circuit. Des ressources qui correspondent à la syntonie psychique. Ceci a lieu, en particulier dans les tâches médiumniques dont les fins sont nobles, là où chaque médium est subordonné à « l’Esprit Guide » traditionnel ou à un directeur de la Spiritualité, la formation d’un circuit est toujours nécessaire.
Mais avant tout, penser c’est créer. Toute la création possède vie et mouvement et impose une responsabilité à la conscience créatrice. Et comme la vie et le mouvement sont liés aux principes de permutation, il est indispensable d’analyser ce que nous donnons afin d’évaluer ce que nous devons recevoir. Ainsi, nos pensées sont à l’origine de nos actes et nos actes sont à l’origine des pensées d’autrui. Ce qui signifie : Là où se trouve la pensée, il y a des courants mentaux, là où il existe les courants mentaux il y a association. Et toute association implique interdépendance et influence réciproque.
Les courants mentaux, formés d’atomes, circulent dans toutes les régions du cerveau. Comme la pensée est une force subtile et inépuisable de l’Esprit, nous pouvons la classer comme un courant vif qui possède des propriétés multiples d’auto-excitation et d’auto-élaboration de formes. Toute particule du courant mental prend son origine dans les émotions et désirs cachés de l’Esprit. Par des phénomènes intimes et profonds de la conscience - dont la structure n’a pas encore été étudiée – elle se déplace en produisant des irradiations électromagnétiques dont la fréquence varie selon les états mentaux de l’émetteur.
Naturellement, il existe des courants mentaux soit constructifs soit destructifs. Afin que l’homme produise des résultats harmonieux et constructifs avec ses pensées, il est indispensable de suivre le chemin du travail méthodique dont la base est la maxime : « ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’il te fît ». Où qu’il soit, l’Esprit est appelé à servir en faveur d’autrui. S’il émet des forces mentales déséquilibrées et destructrices, il attire automatiquement les mêmes forces et entre dans des tourbillons terribles qui le mènent souvent aux délits et aux actions néfastes.
Enfin il serait difficile de discourir sur le concept de la pensée sans évoquer la notion d’idéoplastie par laquelle, la pensée peut se matérialiser par la création de formes dont la durée varie selon la permanence de l’onde émise. L’idée est un « être » organisé par notre esprit à qui la pensée donne forme et auquel la volonté imprime mouvement et direction. Comme les particules de la pensée sont passives devant le sentiment qui leur donne forme et nature pour le bien ou pour le mal, il est facile de conclure que les idées ont les caractéristiques des sentiments qui les ont produites.
Déjà en 1908, Bozzano souligne que les formes pensées peuvent être observées dans des photos puisqu’elles peuvent être imprimées dans des clichés. Le colonel Albert de Rochas réussit à obtenir plusieurs photos dans des expériences avec la médium Eusápia Paladino, décrites dans les Annales des Sciences Psychiques. De même Hernani Guimarães Andrade, dans un article de olha Espírita, décrit des recherches de ce genre avec le clairvoyant Ted Serios, réalisées par un parapsychologue, le Dr J. Eisenbud, aux EUA. Ted Serios fixe l’objectif d’une caméra polaroïd et, en même temps, pense intensément à une image donnée pendant quelques secondes. Lorsque la photo est développée, on voit l’image pensée. Dans le même texte, Andrade décrit les recherches faites par le Dr Eisenbud et par le couple Walter et Mary Jo Uphoff avec le clairvoyant japonais, Masuaki Kiyota, dont les résultats furent positifs. Bozzano a raison lorsqu’il affirme que « le phénomène de la photographie mentale des vivants montre que la pensée et la volonté sont des forces plastiques et organisatrices… »
Ainsi, Chaque Esprit engendre en lui un potentiel inimaginable de forces mentales, électromagnétiques qui transmet sur ce courant psychique les ressources et les valeurs qu’il accumule en lui. Lorsqu’il crée cette force, l’esprit assimile spontanément les courant mentaux qui s’harmonisent avec le type d’onde émise, impose aux esprits sympathiques le fruit de ses élucubrations et en recueille ce qui lui est caractéristique, indépendamment de la distance spatiale. Ainsi, une fois que nous avons choisi nos objectifs, de manière raisonnée, l’objet de notre attention se convertit en facteur inductif et nous oblige à émettre les valeurs de la pensée continue dans la direction vers laquelle notre idée s’est fixée. Dans cette direction, nous allons trouver les principes qui s’ajustent aux nôtres parce qu’automatiquement, nous sommes liés en esprit avec tous les incarnés et désincarnés qui pensent comme nous pensons.

Un grand merci à Marlène NOBRE et à l’Esprit d’André Luiz qui nous ont permis, par leur travail, de réaliser cette synthèse.

Puisse cette lumière atteindre son but dans le cœur de chacun de vous.

 

Le Cesgade
Qui sommes-nous ?

 

Il y a quelques semaines de cela, je me trouvais assise avec des frères et sœurs spirites autour d’une table. Notre réflexion nous portait sur la difficulté que représente un travail commun. Nous avions tous connus des déboires ; déboires vécus dans le milieu familiale, professionnel, associatif. Malgré tout, nous étions là réunis pour une œuvre commune.

Nous étions là en « hommes et femmes avertis », privilège de l’expérience ; et comme dit le dicton « un homme averti en vaut deux ».
Rien ne nous obligeait à être autour de cette table. Rien ! Seule notre volonté nous y avait conduit ; une volonté ferme, lucide et aguerrie, une volonté non pas de s’imposer mais de servir. Nous nous retrouvions dans la position voulue de « serviteurs ».
Servir, serviteur, des mots qui pour beaucoup signifient humiliation, asservissement. Pour nous, ils sont synonymes d’humilité indispensable pour vivre dans la fraternité.
Une joie profonde m’avait envahie. Je regardais chacun d’entre nous et mesurais soudainement le chemin que nous avions parcouru. Les années avaient passé ; le temps fait son ouvrage en nous donnant l’amplitude nécessaire pour découvrir le Spiritisme, le comprendre pour enfin le vivre.
Ce jour était le résultat du travail que chacun avait accompli sur lui-même ainsi qu’au sein d’un groupe spirite. La satisfaction ressentie, partagée, était à la mesure des efforts que nous avions fourni.
Il faut bien le dire, avoir un but commun ne suffit pas pour la concrétisation d’un travail collectif.
Combien la relation est compliquée du fait de l’individualité de chacun. Deux personnes se trouvent l’une en face de l’autre, et nous avons deux intelligences, deux cœurs qui fonctionnent et réagissent selon un langage, des codes, des réflexes et une histoire propres à chacun.
Un même mot peut avoir deux sens ou plus ; alors comment vont-ils se comprendre ? Si ce n’est en faisant l’effort de sortir de soi pour aller à la découverte de l’autre.
Cet effort est celui de s’adapter à l’autre. Dans ces instants, nous ne sommes plus dans la démarche de s’imposer mais de servir ; servir la relation pour qu’ elle puisse se tisser, servir la société, en définitif, puisque sans relation il n’y a pas de société.
Par contre, si nous ne réalisons pas cet effort de compréhension, des rapports de force peuvent s’instaurer et de là vont découler des conflits.
Il est vrai que parfois, la relation s’établit facilement, simplement ; le langage est identique, il y a affinité et compréhension spontanée entre les personnes. Nous sommes là dans le cadre d’une sympathie naturelle. On peut dire que dans ces cas nous avons des individus qui appartiennent à la même famille spirituelle.
Eh oui, tout comme il existe les familles terrestres, il y a les familles spirituelles ! Ce sont des Esprits qui se regroupent du fait de leur affinité, de pensées, de volontés, de buts communs. Ils se soutiennent les uns, les autres, se protègent. Et lorsque l’un d’eux s’incarne, les autres l’accompagnent de leur pensée et leur affection. D’où les « esprits familiers » qui nous entourent, que nous prenons parfois pour des guides. Ils veillent sur nous !
Parfois, aussi il peut y avoir des antipathies immédiates qui rendent la relation très difficile, voire même impossible. On peut dire alors que les individus n’appartiennent pas à la même famille spirituelle, peut être même y a-t-il eu hostilité, malveillance entre eux dans une vie antérieure. Il n’y a pas de compréhension et ils ont alors bien du mal à faire les efforts nécessaires pour arriver à un début de compréhension.
Faut-il ne rechercher la compagnie que de ceux qui ont la même appartenance spirituelle que nous, et que chacun reste au sein de sa « famille » pour éviter tout conflit ? Certainement pas ! Nous avons à apprendre de toutes les relations, y compris de celles qui paraissent vouées à l’échec. La relation est la voie de l’évolution. A travers l’autre, nous sommes confrontés à nous-mêmes, à notre part d’ombre et de lumière, à nos manques. A travers l’autre, nous devenons conscients de notre réalité. La multitude et la diversité d’expériences que nous rencontrons sur terre sont destinées à ouvrir et grandir notre conscience. Une vie ni suffit pas, notre ignorance est trop grande, à commencer par l’ignorance de ce que nous sommes et le sens de notre existence.
Dieu dans sa miséricorde nous donne le temps nécessaire, par le biais de la réincarnation, pour grandir. Il nous laisse accomplir notre propre apprentissage, avancer à notre mesure, afin qu’un jour nous fassions « nôtre » la fraternité puisque issus d’un même principe créateur, Dieu, nous sommes frères et sœurs !
Le Spiritisme nous enseigne la loi du progrès, la loi d’évolution qui régit l’univers. Il explique, étoffe le concept de réincarnation basé sur le libre arbitre. Tout dépend de notre volonté !
Celui qui a bien intégré la notion de réincarnation n’a plus le même regard sur la vie, il développe sa volonté et met tout en œuvre pour raccorder son existence à la loi christique d’Amour. Il apprend la patience, la tolérance, le respect, le courage, le pardon et l’humilité qui sont les ferments d’un être et d’une vie meilleure ; qui sont les ferments aussi d’un travail commun.
Le notre est de servir le Spiritisme. Peut-on trouver plus belle manière de le servir, si ce n’est en étant une représentation vivante de son enseignement ?
Je peux le dire maintenant, ce qui m’avait le plus comblée, ce jour là, était d’observer en chacun de nous les germes des semences du Spiritisme.
Oui, j’ai eu la certitude que nous pouvions travailler ensemble ; qu’un long et dur labeur nous attendait. Mais qu’importe puisque c’est une aventure humaine extraordinairement enrichissante qui se propose à nous dans ce travail spirite commun !

 
 
 
Pierre Jourde est romancier ("Paradis noir" sortira chez Gallimard en février), essayiste ("Littérature monstre" vient de paraître) critique littéraire ("La littérature sans estomac") et professeur à l'université de Grenoble III, du moins tant que quelque chose comme l'université existe encore ; ça ne devrait pas durer. 
Les Palestiniens sont victimes d'une injustice inacceptable. Soit. Depuis soixante ans, sans relâche, les médias du monde entier se focalisent sur ce conflit. On se dit tout de même que la rentabilité injustice/information est très faible, si l'on ne considère que le rapport entre le nombre de morts et la quantité de papiers et d'images déversés sur le monde en général, et les masses arabes en particulier. Même rentabilité faible si l'on prend en compte la quantité de personnes concernées, importante certes, mais moins qu'en d'autres lieux de la planète. Quant aux atrocités commises, n'en parlons pas, une plaisanterie.Au nombre de morts, de réfugiés, d'horreurs, il y a beaucoup mieux, un peu partout. Remarquons, à titre d'apéritif, qu'avec la meilleure volonté du monde, Tsahal aura du mal à exterminer autant de Palestiniens que l'ont fait, sans états d'âmes, les régimes arabes de la région, notamment la Syrie , le Liban et la Jordanie , qui n'en veulent pas, eux non plus, des Palestiniens, et qui ont peu de scrupules humanitaires lorsqu'il s'agit de s'en débarrasser. 


 Mais Israël est un coupable idéal, non seulement dans nos banlieues, mais en Europe en général. Nous le chargeons de toute notre mauvaise conscience d'anciens colonisateurs. Une poignée de Juifs qui transforme un désert en pays prospère et démocratique, au milieu d'un océan de dictatures arabes sanglantes, de misère, d'islamisme et de corruption, voilà un scandale. Il faut donc bien que cela soit intrinsèquement coupable, sinon où serait la justice ? L'injustice est avant tout israélienne. Ce n'est même pas un fait, c'est une métaphysique.Cent chrétiens lynchés au Pakistan valent moins, médiatiquement parlant, qu'un mort palestinien. Pourquoi l'injustice commise envers les Palestiniens reçoit-elle vingt fois plus d'écho que celle faite aux Tibétains, aux Tamouls, aux chrétiens du Soudan, aux Indiens du Guatemala, aux Touaregs du Niger, aux Noirs de Mauritanie ? Y a-t-il plus de gens concernés, plus de sang versé, une culture plus menacée dans son existence ? En fait, ce serait plutôt l'inverse. Que la Papouasie soit envahie par des colons musulmans qui massacrent les Papous et trouvent, en plus, inacceptable de voir les rescapés manger du cochon, voilà qui ne risque pas de remporter un franc succès à Mantes la Jolie. Que des sales Nègres, considérés et nommés comme tels, soient exterminés par des milices arabes au Darfour, les femmes enceintes éventrées, les bébés massacrés, voilà qui ne soulève pas la colère des jeunes des cités. Et c'est dommage : si l'on accorde des circonstances atténuantes à un jeune Français d'origine maghrébine qui s'en prend à un Juif à cause de la Palestine , alors il serait tout aussi logique de trouver excellent que tous les Maliens, Sénégalais ou Ivoiriens d'origine s'en prennent aux Algériens et aux Tunisiens. Voilà qui mettrait vraiment de l'ambiance dans nos banlieues. Le racisme franchement assumé des Saoudiens ou desEmiratis envers les Noirs, les Indiens ou les Philippins, traités comme des esclaves, ne soulève pas la vindicte de la tribu Ka , ni des Noirs de France. La responsabilité directe des Africains dans la traite des Noirs n'induit pas des pogroms de guinéens par les Antillais. Pourquoi seulement Israël ? A moins que la haine d'Israël ne soit que le paravent du bon vieil antisémitisme ; mais non, cela n'est pas possible, bien entendu. 

Israël, 20.000 km2, 7 millions d'habitants, dont 5 millions de Juifs, est responsable du malheur des Arabes, de tous les Arabes, qu'ils soient égyptiens, saoudiens ou français. Israël est l'Injustice même. En le rayant de la face du globe, en massacrant les Juifs, on effacerait l'injustice. C'est bon, de se sentir animé par une juste colère. C'est bon, d'éprouver la joie de frapper et de persécuter pour une juste cause.. Voilà pourquoi il ne faut pas dire aux "jeunes des cités" que les deux millions d'Arabes israéliens ont le droit de vote, élisent leurs députés librement. Ne leur dites pas qu'Israël soutient financièrement la Palestine . Ne leur dites pas que des milliers de Palestiniens vont se faire soigner dans les hôpitaux israéliens. Ne leur dites pas que l'université hébraïqude Jérusalem est pleine de jeunes musulmanevoilées. Ne leur demandez pas où sont passés les milliers de Juifs d'Alexandrie. Il en reste trente aujourd'hui. Ne leur demandez pas ce qu'il est advenu de tous les Juifs des pays arabes. Ne leur demandez pas s'ils ont le droit au retour, eux aussi. Ne leur demandez pas quelle est la société la plus "métissée", Israël ou la Syrie. Ne leur dites pas que, s'il y a de nombreux pro-palestiniens en Israël, on attend toujours de voir les pro-israéliens dans les pays arabes. Ne leur dites pas que le négationnisme ou l'admiration pour Hitler ne sont pas rares dans les pays arabes ; que, lorsqu'il s'est agi d'illustrer les différentes cultures par leurs grands textes, la bibliothèque d'Alexandrie a choisi d'exposer, pour le judaïsme, le Protocole des Sages de Sion ; que ce 'faux' antisémite est largement diffusé dans les pays arabes. Ne leur dites pas que, du point de vue des libertés, de la démocratie et des droits de l'homme, non seulement il vaut mille fois mieux être arabe en Israël que juif dans un pays arabe, mais sans doute même vaut-il mieux être arabe en Israël qu'arabe dans un pays arabe. Ne leur dites pas qu'Alain Soral, du Front national, qu'ils détestent tant, est allé manifester son soutien au Hezbollah, qu'ils admirent si fort.Si on leur enlève la méchanceté d'Israël, que deviendront ceux d'entre eux qui s'en prennent aux feujs, sinon des brutes incultes, bêtement, traditionnellement antisémites ? Il ne faut pas désespérer Montfermeil. Mais après tout, on peut tout de même essayer de leur dire tout cela sans trop de risque. Ils traiteront l'informateur de menteur, d'agent du Mossad, de représentant du lobby sioniste ou de raciste. 

LE VOYAGE LOINTAIN D'UN HOMME

JEAN FERRAT=UN AIR DE LIBERTÉ

Nature saigne de plus en plus et notre monde sent la pourriture.
Nous sommes toujours les damnés de la terre et la vermine qu'on veut éradiquer.


Et ceux qui nous servent de maîtres ne sont pas digne d'être
valets !!!
Que vienne le jour ou nous pourrons enfin respirer cet "Air de Liberté" que chantait ce troubadour, mais à présent notre coeur pleure !


Claude JOUSSEAUME

Discours de Circonstance
 

Excellence Mme la Ministre de l'enseignement technique et de la formation professionnelle

-Excellence Monsieur le Ministre des enseignements préscolaires, primaires et secondaires
-Mmes ; Messieurs les directeurs régionaux de l'éducation.
-Mme ; messieurs les directeurs des enseignements.
-Mes messieurs les inspecteurs.
-Vénérables chefs traditionnels garants de nos us et coutumes.
 

Mr le Président et les membres du bureau exécutif national de l'UFEPLAT

-Camarades fondatrices                                                    -Camarades fondateurs                                                    -Honorables Présidents des associations des parents d'élèves. Et chers invités.                                                                              -Chers congressistes. 

  Permettez qu'au nom du bureau exécutif national de l'UFEPLAT et de son Président ; que je vous souhaite avec déférence et humilité la bienvenue à cette  assise statutaire de notre organisation qui depuis les 22et 23  Août 2005 ; dates de sa naissance  a depuis quelques mois passés  largement fêté ses cinq années d'activité conformément aux dispositions statutaires.

  Mmes, messieurs les Ministres; votre présence effective et celle de vos proches collaborateurs aux cérémonies d'ouverture de nos travaux est la preuve de votre engagement à mettre le service publique au profit de vos administrés et partant de toutes les populations togolaises. Soyez en remercier infiniment.

  A vous ; vénérables chefs traditionnels, nous saluons avec enthousiasme votre présence parmi nous et qui nous honore énormément.

  Vénérables chefs ; vous symbolisez dans nos us et coutumes la sagesse et nous en avons besoin de cette sagesse pour la poursuite de nos travaux dans la paix et dans la concordance des idées nouvelles .

  Aux différents Présidents, des associations des parents d’élèves nous disons également bienvenue à la maison, votre maison que vous connaissez mieux car vos enfants sont nos élèves et nos élèves sont vos enfants et c’est grâce à cette alchimie que nous sommes tenu d’aller dans le même sens pour faire un bilan objectif de nos actions communes et poser les bases d’une collaboration plus fructueuse et enrichissante.

  Camarades fondateurs, membres du bureau exécutif national, bienvenue à vous tous à cette assise statutaire, bienvenue aussi à tous nos camarades congressistes à ce forum démocratique, lieu indiqué pour l’expression de votre souveraineté à chercher de façon libre et justifier le chemin de l’excellence.

  Un idéal qui guide toute nos actions durant les cinq dernières années passées.

  Camarades congressistes le décor est planté devant nous, il nous faut de la pondération et de l’abnégation pour être au dessus de toute négation car les enjeux qui nous attendent sont énormes.

  -Rénover la gestion administrative et financière pour répondre aux normes de la mondialisation.

  -Repenser la pédagogie pour plus d’efficacité dans un cadre structurel et dynamique.

  -Renforcer les acquits sociologiques et culturels pour faciliter l’apprentissage de la vie citoyenne.

  Camarades fondatrices, camarades fondateurs, notre association commune de son rôle de défense de nos intérêts est passée au rôles de gestion de vos devoirs et de vos droits .Ce saut qualitatif de l’union nous impose la liberté et la rigueur dans nos rends.

  Si nous sommes pour une éducation de qualité pour la formation de la jeunesse, il nous faut conjuguer nos efforts pour dégager l’énergie catalyseur pour hisser au firmament des monts de la connaissance notre système éducatif pour le bien de nous tous.

  QU’ILS SOIENT HEUREUX CEUX QUI VIENNENT AU NOM DES ECOLES PRIVEES.

  UNE FOIS ENCORE BIENVENUE A VOUS TOUS

  JE VOUS REMERCIE
 


Excellence Mme la Ministre de l'enseignement technique ; de la formation professionnelle et de l'artisanat
-Excellence Monsieur le Ministre desenseignements
préscolaires, primaires et secondaires
-Mmes ; Messieurs les directeurs régionaux de l'éducation.
-Mmes ; messieurs les directeurs des enseignements. 
-Mes Dames les inspectrices ; Messieurs les inspecteurs.
-Vénérables chefs traditionnels garants de nos us et coutumes. 
Mr le Président et les membres du bureau
 exécutif national de l'UFEPLAT. 
Mr le président  et les membres de la FEEP (fédération des écoles d'enseignement privé) du Québec.
-Mr le PDG de la firme plurilogic de quebec.
-Mr le directeur de l'enseignementde base privé du BURKINA FASO.
Cde vice président de l'union des établisements d'enseignement privé laic(UNEEPL)
-Camarades fondatrices ; Camarades fondateurs 
-Honorables Présidents des associations des parents d'élèves. 
-Camarades  les Secrétaires Généraux des syndicats de l’enseignement privé laïc.
-Chers congressistes.
-Chers invités
Permettez qu'au nom du bureau exécutif national de l'UFEPLAT et de son Président ;et au nom de la présidence de la FIFEF que je vous souhaite avec déférence et humilité la bienvenue en terre Togolaise à nos amis du Burkina Faso et de Quebec et à vous tous à cette présente assise statutaire de notre organisation  nationale UFEPLAT, qui depuis les 22 et 23  Août 2005 ; dates de sa création  a largement  fêté depuis quelques mois passés ses cinq années d'activité conformément aux dispositions  statutaires. Dans le cadre de la globalisation des avancées universelles en matière d'éducation ,l'UFEPLAT s'ouvre au monde extérieur et particulièrement au monde francophone. C'est pourquoi la FIFEF ( la fédération internationale des
fondateurs d'écoles francophones) qui est une organisation syndicale internationale , tisse dans le
 monde entier des réseaux des écoles privées dont le seul but fondamental est de rendre à l'éducation sa qualité par  le truchement des  recherches pédagogiques et administratives adaptées à nos écoles.Au regard de ses statuts et règlement intérieur , la FIFEF s'inscrit dans le maillon des défensseurs des promoteurs d'écoles sur le plan national et international. Elle soutien le présent forum des fondateurs avec la participation effective des amis qui oeuvrent dans le secteur privé comme nous et qui sont venus du canada, de la ville de Quebec et du Burkina Faso , de la ville de Ouagadougou pour nous apporter leurs amitiés et nous témoigner également leur solidarité.
Mmes, messieurs les Ministres; votre présence effective et celle de vos proches collaborateurs aux cérémonies d'ouverture de nos travaux est la preuve de votre engagement  à mettre le service publique au profit de vos administrés et partant de toutes
les populations togolaises. Soyez en tous remercier infiniment. 
A vous  chers   vénérables chefs traditionnels ;  nous saluons avec  enthousiasme votre
  présence parmi nous.Elle  nous honore énormément et nous voulons vous prier d'accepter  nos meilleurs  voeux de cordiale bienvenue. 
Vénérables chefs traditionels, vous etes les garants de  nos us et coutumes et  vous symbolisez aux yeux de nos vaillantes populations  la sagesse.Nous  avons en ce moment besoin de cette sagesse pour la poursuite de nos travaux dans la paix et dans la concordance des idées nouvelles pour une école privée digne au Togo et partout dans le monde francophone.  
Aux différents Présidents, des associations des parents d’élèves, nous disons également bienvenue à la maison ; votre maison que vous connaissez mieux car vos enfants sont nos élèves et nos élèves sont vos enfants et c’est grâce à cette alchimie que nous sommes  tenu d’aller dans le même sens pour faire un bilan objectif de nos actions communes et poser les bases d’une solide collaboration plus fructueuse et enrichissante. 
Camarades secrétaires généraux des syndicats de notre ordre d’enseignement, soyez les bienvenues à la grande messe des employeurs de vos membres actifs. Il est évident que vos attentes sont importantes pour  l’amélioration de vos conditions de vie et de travail. C’est un sujet qui nous préoccupe énomermement et ce présent forum se
 penchera sur ce problème  social à caractère national . C’est pourquoi nous avons besoin de vous et de vos soutiens pour lancer à l’endroit de son Excellence
 Monsieur le Président de la République , et de son Gouvernement  un appel vibrant pour sauver notre ordre d’enseignement.  Camarades fondateurs nous sommes  des auxiliaires  actifs de l’état Togolais  en matière de l'enseignement et le plan EPT 2015 (école pour tous 2015) n'a pas tenu compte de la réalité palpable de notre présence sur le terrain.Mais malgré ce manquement  nous aimerions poursuivre notre  rôle et ce  malgré nos multiples difficultés  pour accompagner le Gouvernement dans sa vision de développement intégral pour une société togolaise juste et parfaite .Mes dames
Messieurs les ministres, vous conviendrez avec nous que l'école privée est actrice de developpement et d'encadrement des  élèves et des enseignants. Cette responsabilité crée des enjeux et ouvre la voie à de nouvelles Perspectives pour l'école privée de demain , digne de répondre favorablement aux sollicitations multiples de la societé.C'est pourquoi nos réflexions iront dans le sens des enjeux socio-économiques avec l'émergence de nouveaux types de promoteurs économiques; qui aux  besoins élaborent et appliquent une réelle  politique de création  et d'offre d'emploi.Cette politique soulève des enjeux de gestion administrative, financière et pédagogique.Comment dans cette condition extrèmement difficile,  nous pouvons donner le meilleur de nous meme si le pouvoir publique ne nous aide pas ? Car au  niveau mondial, le financement sectoriel des sociétés étatiques, para-etatiques et privées entre dans ce grand mouvement de restructurations des entreprises pour juguler la crise financière, sauver les emplois et garantir les  salaires décents.C'est un sacrifice nécessaire  que le gouvernement doit consentir pour sauver la paix sociale.  Les enjeux sont multiples ,il est de l'interet de  l'état  de  s'impliquer dans ce secteur par ses aides et
 subventions .En mettant  au service des promoteurs une direction des établisement privés, l'Etat applique sa politique de décentralisation pour rendre l' administration de ce secteur plus efficace. De notre coté , nous puissions de facon sereine nous attaquer aux perspectives qui entrent dans l'éléboration d'un véritable projet d'établissement et de plan de reuussite pour la formation de citoyens capablent de se prendre en charge à la suite de son cursus scolaire. C’est pourquoi nous avons besoin d’un PLAN NATIONAL  D’AIDE ET DE FINANCEMENT DES ECOLES PRIVEES LAIQUES.( PNAF EPL) 
Camarades fondateurs, membres du bureau exécutif national, bienvenue à vous tous à cette assise statutaire, bienvenue aussi à tous nos camarades congressistes à ce forum démocratique, lieu indiqué  pour  exprimer notre souveraineté et chercher de façon méthodique,  libre et justifiable le chemin de l’excellence;c'est  notre idéal à tous.  Un idéal qui  guide  toutes nos actions.Camarades congressistes le décor est planté devant nous, il nous faut  la pondération et  l’abnégation pour être au dessus de toute négation ; source de division et de perte de temps car  les enjeux qui nous attendent sont énormes. On peut citer quelquesuns : 
-Rénover la gestion administrative et financière pour répondre aux normes de la mondialisation. 
-Repenser la pédagogie pour plus d’efficacité dans un cadre structurel et dynamique avec
 l’introduction des nouvelles techniques de l’information  et de la communication.(NTIC) 
-Renforcer les acquits sociologiques et culturels malgré les courants politiques de nos
 membres pour faciliter l’apprentissage de la vie citoyenne.         
Camarades fondatrices, camarades fondateurs, notre association commune de par  son rôle de défense de nos intérêts  est passée au rôle de gestion de nos devoirs et de nos droits .Ce saut qualitatif  de l’union nous rappeler nos droits et nos devoirs ,  nous impose la liberté de penser et d’agir ; mais surtout  dans la  discipline et  la rigueur .  Nous sommes pour une éducation de qualité et nous devons militer pour sa réalisation. La formation d’un citoyen type capable de se prendre en charge serait un bon exemple pour la jeunesse.  Pour matérialiser ce rêve ; il faut conjuguer nos efforts pour dégager l’énergie catalyseur afin de hisser au firmament des monts de la connaissance notre  système  éducatif débarrassé des souillures et contraintes malsaines pour le bien de nous tous.
 
 
   QU’ILS SOIENT HEUREUX tous  CEUX QUI VIENNENT AU NOM DES ECOLES PRIVÉES
 


Jean-Jacques Rousseau Jean-Jacques Rousseau (1712-1778)

Du contrat social (1762), Livre I, extraits et commentaires sur les chapitres 1 à 9

  • Au début du texte, Rousseau ne se présente pas comme un homme politique : il se présente comme étant né dans un « État libre » et c'est en tant que citoyen qu'il parle de politique.
  • Chapitre 1 : « L'homme est né libre, et partout il est dans les fers. »
    • Rousseau évoque la domination sociale : les hommes sont dominés par d'autres hommes. L'homme est né libre, mais il est esclave de ses impulsions, de ses passions, etc.
    • « Comment ce changement s'est-il fait ? » : depuis longtemps, l'homme a connu diverses formes de domination. Selon Rousseau, l'homme est forcé de vivre en société : « l'ordre social est un droit sacré, qui sert de base à tous les autres. ».
  • Chapitre 2 : « Des premières sociétés »
    • « La famille est [...] le premier modèle des sociétés politiques [...]. ». On ne peut pas fonder l'ordre politique sur l'esclavage : « Les esclaves perdent tout dans leurs fers, jusqu'au désir de s'en sortir [...]. ».
  • Chapitre 3 : « Du droit du plus fort »
    • Peut-il y avoir un droit du plus fort ? Celui qui renverse le plus fort détruit le droit ; la force ne peut pas fonder le droit.
    • « Toute puissance vient de Dieu, je l'avoue ; mais toute maladie en vient aussi. » : référence à St Paul —> pouvoir de droit divin.
    • Quelles sont les puissances légitimes ? Les citoyens.
  • Chapitre 4 : « De l'esclavage »
    • L'esclavage est un rapport de force.
    • Le droit de la guerre n'est pas naturel : les hommes ne se font pas naturellement la guerre : « C'est le rapport des choses et non des hommes qui constitue la guerre [...]. ».
    • La guerre n'apparaît que lorsque des États sont formés : « La guerre n'est donc point une relation d'homme à homme, mais une relation d'État à État [...]. ». Selon Rousseau, les guerres ne détruisent pas les biens privés : « Même en pleine guerre un prince juste [...] respecte la personne et les biens des particuliers [...]. ».
  • Chapitre 5 : « Qu'il faut toujours remonter à une première convention »
  • Chapitre 6 : « Du pacte social »
    • Rousseau fait l'hypothèse suivante : les hommes sont dans une situation de conflit et, pour survivre, sont forcés de s'associer.
    • Pour vivre en société, il faut trouver une forme d'association où chacun est protégé par la société mais il faut également que l'individu se sente aussi libre qu'avant son entrée dans la société.
    • Le contrat social Libre engagement par lequel
      l'homme renonce à sa liberté absolue
      pour se soumettre aux règles instituées
      par la communauté.
      L'homme y trouve en échange
      une force commune
      qui défendra ses droits.
      est un double contrat :
      • chacun s'engage à faire partie de la société (aliénation volontaire ; engagement envers soi-même) ;
      • chacun s'engage envers le tout formé par l'ensemble des associés (volonté générale) et chacun se place sous l'autorité de cette même volonté générale.
    • Le Peuple est l'unité des individus associés par le pacte social. La volonté générale est la volonté du peuple.
    • Ce que le pacte social fonde, c'est la République ou l'État : « [...] cet acte d'association [prend maintenant le nom] de République ou de corps politique, lequel est appelé par ses membres État quand il est passif, Souverain quand il est actif, Puissance en le comparant à ses semblables. » C'est le peuple qui est souverain ; le sujet (citoyen passif) se soumet aux lois qu'il a lui-même voulues.
  • Chapitre 7 : « Du souverain »
    • Le souverain est la source première du pouvoir. Un peuple ne peut s'aliéner lui-même. Il est à l'origine des lois et il peut les changer. En résumé, les citoyens sont l'État.
    • L'individu est à la fois l'homme et le citoyen : il a des intérêts privés et des intérêts publics (société).
  • Chapitre 8 : « De l'état civil »
    • « Ce que l'homme perd par le contrat social, c'est sa liberté naturelle et un droit illimité à tout ce qui le tente et qu'il peut atteindre ; ce qu'il gagne, c'est la liberté civile et la propriété de tout ce qu'il possède. »
    • Ce sont les autres qui nous rendent propriétaires.
  • Chapitre 9 : « Du domaine réel »
    • L'État garantit la propriété ; il en est le maître juridique. C'est la communauté qui assure au propriétaire sa propriété : « Car l'État à l'égard de ses membres est maître de tous leurs biens par le contrat social [...]. »
    • « [...] au lieu de détruire l'égalité naturelle hommes à l'état
      de nature
      , le pacte fondamental substitue au contraire une égalité morale et légitime à ce que la nature avait pu mettre d'inégalité physique entre les hommes, et que, pouvant être inégaux en force ou en génie, ils deviennent tous égaux par convention et de droit. »
 


 

AIMÉ CESAIRE

Partir.
Comme il y a des hommes-hyènes et des hommes-
panthères, je serais un homme-juif
un homme-cafre
un homme-hindou-de-Calcutta
un homme-de-Harlem-qui-ne-vote-pas

l'homme-famine, l'homme-insulte, l'homme-torture
on pouvait à n'importe quel moment le saisir le rouer
de coups, le tuer - parfaitement le tuer - sans avoir
de compte à rendre à personne sans avoir d'excuses à présenter à personne
un homme-juif
un homme-pogrom
un chiot
un mendigot

mais est-ce qu'on tue le Remords, beau comme la
face de stupeur d'une dame anglaise qui trouverait
dans sa soupière un crâne de Hottentot?
Je retrouverais le secret des grandes communications et des grandes combustions. Je dirais orage. Je
dirais fleuve. Je dirais tornade. Je dirais feuille. Je dirais arbre. Je serais mouillé de toutes les pluies,
humecté de toutes les rosées. Je roulerais comme du sang frénétique sur le courant lent de l'oeil des mots
en chevaux fous en enfants frais en caillots en couvre-feu en vestiges de temple en pierres précieuses assez loin pour décourager les mineurs. Qui ne me comprendrait pas ne comprendrait pas davantage le rugissement du tigre.
Et vous fantômes montez bleus de chimie d'une forêt de bêtes traquées de machines tordues d'un jujubier de chairs pourries d'un panier d'huîtres d'yeux d'un lacis de lanières découpées dans le beau sisal d'une peau d'homme j'aurais des mots assez vastes pour vous contenir

et toi terre tendue terre saoule
terre grand sexe levé vers le soleil
terre grand délire de la mentule de Dieu
terre sauvage montée des resserres de la mer avec
dans la bouche une touffe de cécropies
terre dont je ne puis comparer la face houleuse qu'à
la forêt vierge et folle que je souhaiterais pouvoir en
guise de visage montrer aux yeux indéchiffreurs des
hommes

Il me suffirait d'une gorgée de ton lait jiculi pour qu'en toi je découvre toujours à même distance de mirage - mille fois plus natale et dorée d'un soleil que n'entame nul prisme - la terre où tout est libre et fraternel, ma terre.

Partir. Mon coeur bruissait de générosités emphatiques. Partir... j'arriverais lisse et jeune dans ce pays mien et je dirais à ce pays dont le limon entre dans la composition de ma chair : « J'ai longtemps erré et je reviens vers la hideur désertée de vos plaies ».

Je viendrais à ce pays mien et je lui dirais : Embrassez-moi sans crainte... Et si je ne sais que parler, c'est pour vous que je parlerai».
Et je lui dirais encore :
« Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n'ont point de bouche, ma voix, la liberté de celles qui s'affaissent au cachot du désespoir. »

Et venant je me dirais à moi-même :
« Et surtout mon corps aussi bien que mon âme, gardez-vous de vous croiser les bras en l'attitude stérile du spectateur, car la vie n'est pas un spectacle,car une mer de douleurs n'est pas un proscenium, car un homme qui crie n'est pas un ours qui danse... »

Soirée Aimée Césaire, le 25 avril 2008

La poésie francophone des Antilles a fait démonstration au XXème d'une étonnante vitalité, Aimé Césaire (1913-2008), homme de lettres en même temps qu'homme engagé dans tous les combats politiques de cette région (il est Maire de Fort-de-France) en est un exemple marquant. André Breton, qui découvrit le Cahiers du Retour au Pays Natal dès 1941, dans le premier numéro de la revue Tropiques, ne s'y est pas trompé et l'a aussitôt salué comme un frère surréaliste et comme l'un des plus grands poètes de son époque. Sa poésie, qui est une poésie "engagée" n'a pourtant rien à voir avec un discours politique, et dépasse largement le seul combat des antillais pour retrouver leur souveraineté dans leur propre pays, pour devenir un appel universel à la dignité humaine, à l'éveil et à la responsabilité. Il ne s'agit pas ici de doctrine mais de pure poésie, une poésie exigeante, déconcertante, qui captive par l'originalité de ses images, et en même temps jamais gratuite, pleine de sens, urgente. Initiateur avec Senghor de la Négritude, mouvement qui fit beaucoup pour redonner au peuple noir la fierté de ses racines africaines, il émaille ses poèmes, écrits dans la langue française la plus pure, d'expressions spécifiques à l'imaginaire des Iles où resurgissent des bribes de la culture africaine, sans jamais tomber dans le pittoresque ou le régionalisme. De Césaire à Depestre en passant par Guy Tirolien et Paul Niger, cette partie du monde a considérablement enrichi la poésie francophone de la deuxième partie du XXème siècle. Piers Tenniel.




LE FOND DE LA PENSÉE DES ÉCRIVAINS AFRICAINS DOIT ETRE DÉVOILÉ POUR PERMETTRE LA COMPRÉHENSION DES ORIENTATIONS  DONNÉES AUX OEUVRES QUI BRANDISSENT LEURS ENGAGEMENTS VIS À VIS DU CONTINET NOIR ...
LES OPTIONS DE LA DÉCOLONISATION EN AFRIQUE.


LE MAITRE COLON DANS SES OEUVRES !!!SI LA FRANCE SAVAIT!!!!!


LE SACRIFICE DES DIGNES FILS ET FILLES D'AFRIQUE !!!
POUR UNE LIBERALISATION RATÉE ET INUTILE
LA REVOLTE!!!!!!!














LES MONUMENTS ET LA SUEUR DES NATIONALISTE AFRICAINS DANS LEURS LUTTES POUR LA LIBÉRATION



 

 

 

 

 

 


 
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